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La LADDH

La Ligue Algérienne pour la Défense des Droits de l’Homme (LADDH) est une association nationale à but non lucratif soumise aux dispositions de la loi 12/06 du 12 janvier 2012 relative aux associations. Elle a été créée en 1985 par un groupe de militants . Officiellement reconnue par les autorités, le 26 juillet 1989, après l’ouverture politique arrachée par les événements du 5 octobre 1988../ contact : laddhalgerie@gmail.com

phénomène l’immigration clandestine

Publié le 24 Juin 2014 par LADDH CHLEF

phénomène l’immigration  clandestine

Ligue Algérienne pour la Défense des droits de l’Homme

  1. LADDH CHLEF

laddhchlef@yahoo.fr

laddhchlef@gmail.com

http://facebook.com/laddhchlef

https://twitter.com/laddhchlef

le flux migratoire qui touchent cette région mettent en relation aussi bien les pays de la région entre eux ,que d’autre zone d’émission ou de destination de flux en Afrique ,en Europe

les migrations irrégulières et de transit qui se sont développées dans cette région durant les dix dernières années ont profondément bouleverser les anciens systèmes migratoires dans la région , d’ailleurs les pays européennes ont réussi a engager les pays Nord africains dans des politiques de contrôle des flux et de lutte contre les migrations irrégulières dont les finalités correspondent aux objectifs des politiques migratoires européenne .

Autopsie du phénomène l’immigration clandestine

L’immigration clandestine est un phénomène qui constitue, néanmoins, un blocage pour le développement des pays pauvres tel que l’Algérie, car motivé par le sous emploi des jeunes. La résolution de ce problème est tributaire de la création des postes de travail par le biais des investissements les grandes puissances de l’économie du l’union européenne ont donc à leur charge l’investissement dans l’industrie lourde dans les pays africains notamment en Algérie qui fournissent cette immigration, afin de stabiliser les citoyens et en l’occurrence éviter l’envahissement de l’occidents par ces sans emploi.

Les pays, dits industrialisés en générale et l’union européenne en particulier ; ceux qui détiennent les économies et les finances de cette terre si vraiment défendre les droits de l’homme normalement sont tous conscients de la gravité du phénomène pour le devenir du globe dont la population Africaine, surtout dans les pays de nord Afrique notamment l’Algérie, ne fait que s’accroître d’année en année. Ces puissances qui absorbent, en fait toutes, les ressources, toutes les énergies et mêmes toutes compétences de ces pays démunis, sont à l’origine de ces problèmes sociaux, car ils les ont longtemps colonisé, ce qui fait d’eux des pays aliénés et les condamne à rester pauvres, et à la merci de ces quelques pays riches au mondes, qui ne dépassent pas le chiffre Huit ( G 8 ) pour ne pas dire G 7 ..

La LADDH CHLEF attire l’attention les responsables les deux rives, que une jeunesse désemparée et travaillée par le mythe de l’ailleurs, et cela due face à l’incertitude de l’entrée sur le marché du travail, le monde occidental exerce un attrait sur les consciences juvéniles au point qu’il devient courant de penser que « l’avenir n’est plus au pays, mais ailleurs », c’est-à-dire en en Europe (Espagne, France, Italie, Allemagne, Belgique, Suisse –Norvège - Grande-Bretagne ) ainsi en Amérique du Nord (Etats-Unis, Canada) et l’Australie ,

La LADDH CHLEF pose des questions :

Quelle est la solution donc qui peut être empruntée pour amortir ce danger ?

Comment s’ y prendre ?

C’est très simple, si les occidentaux veulent la paix pour leur pays et du bien pour ceux du Sud, il est important de penser à leur créer de l’emploi chez eux, en investissant dans l’industrie, le textile, l’agriculture, la pêche, l’élevage......dans le tourisme...

A titre d’exemple, l’industrie des loisirs est l’un des secteurs au monde qui peuvent absorber un nombre important de main d’œuvre. Et l’Algérie est un pays qui regorgent de potentialités et d’atouts naturels de valeurs et de ressources naturelles et humaines qui s’apprêtent au développement du tourisme, surtout d’évasion et d’aventure. Les autorités des pays riches de la région (du bassin méditerranéen) doivent penser à ce genre d’économies et d’essayer de développer des infrastructures de base à même d’accompagner l’épanouissement socio-économique local, en créant des activités de niche, et de proximité.

Ce procédé sera bénéfique pour toutes les parties : pour les uns cela crée de l’emploi et stabilise les citoyens pour les autres favorise la production à des coûts moins chers, avec des matériaux moins chers. Ceci va aussi favoriser l’instauration de la paix dans le monde et assurer la sécurité sociale dans toutes les régions du globe...

Sans l’adoption de cette stratégie, l’immigration clandestine ne sera jamais stoppée dans le monde entier, car il est normal et légitime qu’un affamé de l’Afrique surtout immigration subsaharienne s’enrage et cherche à aller là où un morceau de pain lui est offert, et son unique rêve est d’aller vers l’occident, et le littoral de Tenes du région Chlef ou bien a Oran et Maghnia les pots cassés, car situé à la croisée des deux continents.

La LADDH pense que l’Europe en générale et en particuliers ( France , Espagne , Italie , ) est confrontée à un paradoxe : d’un côté, elle est devenue l’une des premières destinations migratoires du rive sud de la Méditerranée et en particuliers de l’ALGÉRIE depuis ces cinq dernières années, dans un contexte de manque de main-d’œuvre sectorielle et de vieillissement. De l’autre, elle continue à inscrire les migrations dans le registre sécuritaire de la dissuasion et de la lutte contre l’immigration clandestine comme objectif prioritaire.

L’immigration clandestine et protection des droits de l’homme

En vêtu le droit international des droits de l’Homme s’est pleinement emparé de ce principe de non-refoulement et lui a donné une portée qu’il n’avait pas initialement dans le droit international des réfugiés ou du moins qu’il avait en germes non éclos. Aux termes de la Convention de Genève de 1951 relative au statut des réfugiés et du Protocole additionnel de New York de 1967, les Etats doivent en effet s’abstenir de refouler une personne ou un groupe de personnes dans un Etat « où sa vie ou sa liberté serait menacée en raison de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques » (Convention de Genève, article 33).et malgré la décalage entre l’affichage des droits de l’homme et les difficultés du « containment ». L’européanisation des politiques migratoires de gestion des flux s’accompagne de surcroît d’une très grande diversité des situations et des réponses politiques des pays d’accueil qui se réfugient souvent dans l’« opting out », un attentisme légitimé par la spécificité des situations de chacun.

Dans ce cadre la LADDH CHLEF rappel l’union européenne, la liberté de circulation et d’établissement est rattachée aux grandes libertés sur un fondement à la fois conventionnel et coutumier. Elle découle des principes généraux de l’article 3 de la Déclaration : « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. » Cela serait suffisant en soi pour fonder la liberté de circulation. Mais le droit de circulation est précisé dans l’article 13 : « Toute personne a le droit de circuler et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un Etat et toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays. » C’est une liberté pure, sans conditions. La vraie liberté que nous partageons entre tous les humains. L’asile, qui est conditionné à la persécution, est une institution en soi différente, faisant l’objet d’autres dispositions ; même si les choses se complètent et si, dans la réalité du phénomène migratoire, elles sont étroitement mêlées. La liberté pure de circuler est reprise dans des termes quasi identiques dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques de 1966 à l’article 12. Or, du point de vue de leur force juridique, les pactes ont valeur obligatoire : il s’agit de traités ratifiés, correspondant à des engagements des Etats.

L’ouverture des frontières européennes, pour LADDH CHLEF n’y croit guère. Pour cet association d’aide à la réinsertion d’anciens migrants qui ont tenté en vain l’aventure de l’Europe, il faut des politiques plus ambitieuses de développement dans la région de Chlef. Les investissements de l’Union européenne en matière d’immigration clandestine,

La LADDH CHLEF pense que l’union européenne, se trompent de cible. “La quasi-totalité de cet argent a été dépensé pour renforcer la sécurité et non pour les jeunes chômeurs ».

La LADDH CHLEF se sentant seul dans le terrain sans moyen face à cet afflux de migrants de la région de Chlef et ces environs ainsi subsaharienne environs 30 a 35 personnes par mois prend de Mer Méditerranée vers l’Europe ( d’après les gens que nous avons rencontre mais officiel pas de statique exact malheureusement ) , La wilaya de CHLEF devient la première région pour l'immigration clandestine maritime en Algérie .

La laddh chlef souhaite aux responsables les deux rives Méditerranée il faut comprendre le phénomène.

Nous avons tous à l'esprit l'image des migrants bien souvent en y laissant leur vie dans le mer , dans ces semaines nous avons reçus des dizaines de familles plus 40 familles cherches leur enfants certaines disparus depuis 2008 .

La LADDH CHLEF est convaincue que ce phénomène, particulièrement prononcé en Méditerranée, ne trouvera pas de solution avant qu'un dialogue ouvert et innovateur ainsi qu'une coopération durable ne se mettent en place entre les pays de la rive sud et nord et qu'une association progressivement plus étroite des Etats de la rive sud de la Méditerranée, il faut faire un pas décisif pour la lutte contre les vraies causes de la migration clandestine.

Nul ne peut être insensible à ces images de détresse absolue et de désespoir total qui bouleversent à juste titre les consciences européennes ,des hommes, des femmes et des enfants désespérés ont été livrés à eux-mêmes, en pleine mer, des jours durant, tandis que les États discutaient du lieu où il fallait les conduire. Parfois, des personnes sont mortes sur ces embarcations, tandis que leurs appels de détresse demeuraient sans réponse, mais l'émigration à tout prix est-elle la seule solution au drame de la rive sud de la Méditerranée?

En effet, la volonté de certains États européens de faire barrage à l'immigration clandestine (c'est-à-dire aux personnes qui n'ont pas l'autorisation de vivre ni de travailler dans ces pays) ne permet pas de mener à bien les opérations de sauvetage en mer en temps voulu.

Ces images très médiatisées ne représentent pourtant qu'une partie de l'immigration clandestine, Parmi ceux qui parviennent à atteindre l'Europe, beaucoup se retrouvent en détention pendant des périodes prolongées. Les États se servent de la détention comme d'un moyen de dissuasion, bien qu'il ne soit pas prouvé qu'elle dissuade les gens de migrer ou de solliciter l'asile. car les migrants clandestins, dans leur grande majorité , entrent dans l'Union européenne de manière légale, avec un visa de court séjour. C'est la première idée que la LADDH CHLEF veux faire passer : on entre légalement dans l'Union européenne, on s'y maintient illégalement au-delà de la durée légale du court séjour et on bascule ainsi dans l'illégalité. La tendance à « criminaliser » l'immigration clandestine s'est accentuée en Europe. Certains pays ont introduit des sanctions pénales pour l'entrée sur le territoire ou le séjour irrégulier. D'autres sanctionnent également ceux qui viennent en aide aux migrants en situation irrégulière.

Chaque année, des dizaine de jeunes bravent la mort

Le phénomène est un vrai casse-tête pour les responsables Algérien et a l’union européenne chargés de ce dossier. La dissuasion par la répression s’est avérée inefficace. La loi Algérien punissant toute personne qui tente de quitter illégalement le territoire national de 2 à 6 mois de prison ainsi que d’une amende de 20.000 à 60.000 dinars s’est avérée bien peu dissuasive et pratiquement d’aucune efficacité pour ne serait-ce que juguler ce fléau.

La LADDH CHLEF elle a constaté que les candidats à l’immigration clandestine par le biais de la «Harga» ne reculeront devant rien. Pas même devant la mort. Si c’est le prix qu’ils devront payer rien que pour caresser le fol espoir d’une vie meilleure outre Méditerranée, alors, même le risque fort probable de se retrouver outre-tombe, ne les effraiera pas. Ils demeurent prêts à relever le défi, à affronter toute mer démontée et ses vagues en furie.

Les risques sont connus: disparition en mer, les gardes-côtes de la ville de Tenes qui les prennent en chasse…Les moyens sont dérisoires: embarcations de fortune…Tous les ingrédients sont réunis pour transformer ces folles et insouciantes équipées en autant de drames humains. Ceux de jeunes Chélifiens qui souffrent. Qui ont mal et qui le disent.

Faute de ne pas avoir été entendus, faute de réponse adéquate à leurs préoccupations, ils ont choisi d’hypothéquer leur vie en mer plutôt que de moisir et de vieillir, un peu trop tôt, à l’intérieur de cités de logement préfabriqué depuis le séisme 1980 qui mettent à nu leur désespoir.

La LADDH CHLEF considère que toute politique de restriction dans ce sens n'a pas de fondements humanitaires et qu'elle touche au pire les groupes de personnes qui ont le plus besoin de solutions concrètes aux écarts et disparités de développement qu'ils vivent au quotidien dans les pays du sud de la Méditerranée.

Le manque de perspectives d’avenir, l’instabilité, le chômage et la misère incitent certaines personnes à quitter leur pays au sud de la Méditerranée. Les restrictions dans la délivrance de visas les contraignent à rechercher des moyens illégaux d’entrer en Europe. Les conditions dans lesquelles ces personnes passent clandestinement d’Afrique en Europe sont effrayantes et ne pourront s’améliorer que si un certain nombre de mesures sont prises rapidement. Les Etats membres du Conseil de l’Europe doivent se rappeler que l’émigration est un droit fondamental de l’homme, et se préparer en conséquence à accepter le phénomène d’une migration stable et durable, ainsi qu’à régulariser la situation des migrants clandestins.

Ballottés entre des rues sinistrées et des cafés insalubres où ils n’arrivent même pas à tuer leur ennui, ils n’ont que la fuite en tête. D’après les gens de cette région de CHLEF plus centaines pour ne pas dire des milliers d’après les gens d’entre eux ont tenté l’aventure entre 2005 a 2012. Combien seront-ils à avoir essayé en l’année 2013?

Les gardes- côtes chargés de leur livrer cette chasse à l’homme. Elle ressemble à l’ultime recours qui puisse exister pour leur éviter la mort ou à un moindre mal, le terrible apprentissage de la clandestinité.

Ils seront certainement nombreux les jeunes candidats à l’émigration clandestine qui rêvent de passer les fêtes de fin d’année 2014 en Espagne , en france ou en Italie.

Deux destinations parmi les plus prisées à cause de réseaux de solidarité (amis, proches parents…) qui les prendront en charge, même si les régularisations sont devenues très difficiles dans ces trois pays.

des dizaines corps d’Algériens se trouvant dans les morgues espagnoles. Almeria, Alicante et d’autres villes encore a l’italie. «Les corps qui sont déposés dans les morgues des villes, à Almeria ou ailleurs, certains depuis six mois, d’autres depuis un ans, sont en état de décomposition avancé», Cette comptabilité macabre ne diminue en rien le calvaire de ces damnés de la terre. Une mort d’Algérien dans des conditions aussi dramatiques qu’insupportables est une mort de trop. Et il n’y a pas lieu à ce qu’elles se comptent par centaines ou par milliers pour s’en émouvoir.

Bon nombre de ces clandestins sont exploités par des filières criminelles ( drogue , vol ,….etc ). Organisées en réseaux, elles interviennent à toutes les étapes du parcours des migrants : corruption dans les pays d'origine, production de documents frauduleux qui servent à l'établissement des visas, organisation du voyage par la voie terrestre ou la traversée maritime, mise en contact du migrant avec son employeur.

Dans certains pays, 40 % des documents présentés à l'appui d'une demande de visa sont frauduleux. La réalité de cet odieux trafic est, hélas, bien connue. Des personnes vendent tous leurs biens, s'endettent à vie dans la quête d'un eldorado et, à l'arrivée, ces mêmes personnes trouvent l'enfer et non le paradis promis par des passeurs criminels. Car ce qui attend beaucoup de migrants clandestins, c'est l'exploitation -j'ose le mot- par les esclavagistes du travail illégal. LADDH CHLEF pense que la politique sécuritaire n’est pas une solution , même nous avons remarquer au niveau de l’Europe l'esclavage des temps modernes qu'est l'exploitation des migrants clandestins et illégaux. C'est le cas dans certains secteurs : la restauration, le bâtiment, les emplois domestiques, l'agriculture.

La laddh Chlef demande à l’Etat Algérien de lever les verrous bureaucratiques pour qu’ils puissent venir en aide aux jeunes Algériens détenus dans les prisons espagnoles, ceux qui tentent de survivre dans la clandestinité, et pourquoi pas rapatrier les corps en décomposition dans les morgues. « Des hommes d’affaires algériens, des associations et autres bienfaiteurs sont prêts à nous aider, disent-ils, mais il est difficile d’avoir toutes les autorisations pour pouvoir le faire. » Il est tout de même honteux que ce soit les associations humanitaires belges et suisses qui viennent au secours des jeunes Algériens en détresse.

La LADDH CHLEF qu’il y a beaucoup de harraga qui veulent bien revenir mais avec les dernières lois promulguées en Algérie et qui sanctionnent sévèrement l’immigration clandestine, ils préfèrent rester là où ils sont.

La LADDH CHLE demande a l’Union européenne que (Les pays riches en sont responsables et en subissent les conséquences)

La LADDH CHLEF considère que le gouvernement algérien veut se dérober à ses obligations internationales en matière de protection et d’aide humanitaire, à l’égard des personnes fuyant une zone de conflit de ses frontières ( en Mali , Afrique de centre ….etc ) , notamment envers les femmes et les enfants

La LADDH CHLEF tente donc une nouvelle fois de tirer la sonnette d'alarme et réclame une « stratégie claire » à l'Union européenne ainsi au gouvernement algérien , ainsi en demande aux pays de l'Union européenne que les populations en mouvement ne doivent plus être victimes d'atteintes aux droits humains en raison de leur statut migratoire. Ceux qui sont exploités ou dont les droits sont bafoués doivent pouvoir en appeler à la justice.

Immigration subsaharienne

la wilaya de Chlef est devenue, en l’espace de quelques années, un véritable Eldorado pour un bon nombre de ressortissants subsahariens dont des Maliens, des Nigériens, des Nigérians, des Ghanéens et pour d’autres, une véritable passerelle de passage vers l’Europe. Il est difficile d’estimer le nombre de migrants subsahariens vivant dans la wilaya de Chlef et ses environs, d’après nos militants droits de l’homme le chiffre évoluent suivant la saison .

Bien qu’elle ne cesse de prendre de l’ampleur, l’immigration subsaharienne «illégale» dans la wilaya de CHLEF ce que donne a notre bureau LADDH CHLEF une préoccupation principale malgré peu moyens dont dispose notre bureau ,mais avec la volonté et la conviction permet de se lancer, dans l’immédiat, dans une action de soutien actif à ces immigrés , comme en signale que la LADDH CHLEF besoin en urgence des moyens financière et matérielles par ce que si nous devions nous lancer dans une action pareille sur la region de Chlef et ses environs , nous devrions y mettre les moyens: ouvrir des sections « surtout problème de locaux » à Ténès ,Boukadir ,Oued fodda ,Ouled fares , Ain merrane …….etc

  • former des équipes d’enquêteurs
  • une equipe pour sensibiliser

  • La LADDH CHLEF persuadé que les migrants vivent parfois dans un climat de peur permanent, d’appris certains migrants que nous avons parlé avec eux, ils se méfier de la société civil et y compris journalistes ,suite a ce type de visites le service sécurité d’algérien exerçait parfois des pression pour nous allons partir a n’importe wilayas .

LADDH CHLEF rappelle que la solution de la question de l’immigration subsaharienne relève essentiellement de la responsabilité de l’Union européenne, l’Algérie n’étant pour la plupart des immigrés irréguliers qu’un pays de transit.

LADDH CHLEF pose la question « Que fait pour eux l’UE ?

Elle propose au Maghreb de servir de rempart contre eux. Si l’Europe est favorable à la libre circulation des marchandises, elle doit ouvrir ses frontières à cette marchandise que lui exporte le Sud, la main-d'oeuvre bon marché!»

Le problème doit être réglé à la source, conclut Mr HOUARI Kaddour président de la LADDH CHLEF , par le développement de ce «continent sinistré» qu’est l’Afrique: «L’histoire de ce continent est une longue suite de tragédies. Les empires médiévaux, tout comme les grands empires coloniaux, n’ont pu être bâtis que grâce à l’exploitation de la force de travail des Noirs Africains. Il est temps que le monde rende justice à l’Afrique.»

La situation relative à l’immigration subsaharienne semble perdurer malgré les efforts déployés par la Brigade de recherche, d’investigation et de lutte contre l’immigration clandestine .En dépit du froid qui sévit la wilaya de CHLEF , les immigrés clandestins candidats à l’exil se font de plus en plus nombreux. Ils sont environ 250A 300 immigrés clandestins de diverses nationalités qui vivent terrés dans des conditions inhumaines dans la wilaya de CHLEF .. Tous les moyens sont utilisés par ces immigrés clandestins originaires du Mali, du Bénin, du Niger, du Nigeria, du Sénégal... Corvéables et malléables à merci, ils sont astreints à des travaux de cueillette agricole, employés comme manœuvres sur les chantiers de construction. Quand ils n’arrivent pas à travailler au noir, ils pratiquent la mendicité. Parfois ils usent de procédés illicites, tels le vol ou l’escroquerie, pour lesquels plusieurs d’entre eux ont comparu devant la justice et condamnés.

Dans ce contexte, plusieurs dizaines immigrés clandestins ont été interpellés par la BRIIC de la wilaya de CHLEF en 2

Cet attrait a fait que CHLEF enregistre presque quotidiennement l’arrivée de nouveaux ressortissants étrangers en situation irrégulière. Pour préparer leur passage vers la rive nord de la méditerranée, ils s’adonnent, pour certains d’entre eux, à la vente d’amulettes, , d’autres travaillent au noir comme manœuvres dans les nombreux chantiers mais malheureusement s’adonnent à toutes sortes de trafic dont notamment la prostitution, le faux et l’usage de faux et le recel de fausses monnaies.

Ceci étant dit, pour de nombreux clandestins CHLEF , n’est qu’une escale qui parfois se prolonge indéfiniment faute de ressources suffisantes pour aller au-delà de leurs rêves.

La LADDH CHLEF

Président

HOUARI Kaddour

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